Vaines-esperances

Toutes mes choses sans importance

Dimanche 29 août 2010 à 0:55

Comme le souffle du vent
Je ne sais pas d'où tu viens
Les feuilles qui volent doucement
Je ne sais pas d'où tu viens

Je songe à t'explorer dans mes moments
Ou je suis perdue dans mes sombres pensées
Mais je m'arrête car soudainement
Je n'arrive plus à respiré

Parfois dans mon sommeil
Quand bizarrement je m'éveil
Les yeux mouillés, et le coeur lourd
Empli de peine, empli d'amour..

Comme le souffle du vent
Je ne peux pas te toucher
Les fleurs qui meurent inexorablement
Je ne peux pas l'empêcher

Je pense à se gouffre qui m'envahi
Me saigne et me poursuit
Et ces larmes qui apparaissent parfois
Bien, bien malgré moi...

Souvent quand je m'endors
j'ai une belle pensée pour toi
Puis mon âme brûle et se tord
Sachant que tu n'es plus là...

Comme le souffle du vent
mon souffle parfois s'amoindrit
Si tu savais ce que je ressent
Si tu savais comment je le vit

Mal
Tellement
Mal
atrocement

Car comme le souffle du vent
Tu es sans être
Comme le souffle du vent
Tu n'es plus sans disparaître

Je t'aime, avo.
 


Mercredi 25 août 2010 à 2:29

Parménide.
Un brin de poesie
De philosophie
Et un peu de moi, aussi


Parménide divisait la philosophie en deux parties : sur la vérité et sur l'opinion. Cette division était pour lui - ainsi que l'est maintenant pour moi - Absolue

« Χρεὼ δέ σε πάντα πυθέσθαι
ἠμέν Ἀληθείης εὐκυκλέος ἀτρεμὲς ἦτορ
[30] ἠδὲ βροτῶν δόξας, ταῖς οὐκ ἔνι πίστις ἀληθής. »

" Apprends donc toutes choses
Et aussi bien le coeur exempt de tremblement
Propre à la vérité bellement circulaire,
Que les opinions des mortels, dans lesquelles
Il n'est rien qui soit vrai ni digne de crédit. "
 

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