Vaines-esperances

Toutes mes choses sans importance

Mardi 24 août 2010 à 17:23

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Pour un de mes premiers tableaux je trouve cela pas mal, pas vous ?!

Mardi 24 août 2010 à 0:46

  

Ton rire, il me manque tellement
Et tes sourires moqueur j’y repense souvent

Comment as-tu put partir si soudainement
Me laissant seule, dans mon tourment

Pourquoi ? Comment ?

Les larmes coulent, sans que tu ne reviennes
Sans que tu n’entende ni même que tu ne comprenne

Combien ma peine est immense combien il n’y a pas de mots
Pour dire quel est le poids de mes maux

Et si de la haut tu perçois ma douleur
Mon égoïsme espère que tu t’en veuille un peu

Car le glas de ta mort sonne à mon cœur
Comme le son amer d’un éternel Adieu...

Nini
 


Mardi 24 août 2010 à 0:22

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                                           I

Le sens de la réalité parfois m’échappe, comme un roulement de tambour que j’entendrais au loin, mais que mon subconscient se refuse d’écouter. Que dire de cette vie que je me suis construite en disant oui puis non en ayant envie et motivation puis en perdant tout me plongeant dans mon autre réalité ? Celle que je ne saurais concevoir autrement que dans les livres, dans ma poésie et dans mes écritures ? Quoi de plus simple que de laisser ses responsabilités de cotés, d’oublier dans quel monde l’on vie, d’une horreur affligeante, mais d’une normalité dérangeante ? Le fait que tout paraisse vide et sombre parfois me contraint à dire que je ne devrais plus lire une ligne de se qui ne représente pas la vrai réalité.
Celle de tout un chacun, celle que j’aperçois parfois de loin quand je m’éveil, en ne songeant qu’au prochains livres, à la prochaine mise à l’écart de cette si banale réalité...

Finalement je suis une droguée.

Une alcoolique métaphorique, qui à une vive dépendance au décrochage de réalité, une droguée,  une alcoolique. L’alcoolique porterait avidement à sa bouche, la bouteille qu’il a choisi de boire, il boit, je ne parle pas de raisons, du pourquoi simplement qu’il boit, il boit et perd le sens, le sens des réalités. Il ne mesure pas ce qu’il fait ni se qui l’entoure, jusqu’à un certain point.

Le drogué lui quelque soit sa drogue, fera de même il portera avec avidité son nez vers sa ligne de coke. Il fumera avec impatience sa dose de crack. Il s’injectera avec agitation sa dose d’héroïne. Et il oubliera, tout se qu’il entoure pour n’être plonger que dans sa demi conscience. Dans sa propre réalité?

 Et moi. Je lis, tout, tout ce qui n’est pas réel, tout ce qui pourrait ne pas ressembler à la réalité qui m’entoure, je lis comme un drogué prendrait sa dose, non pas par plaisir, mais par 

Moi je parcours les lignes de ce que je lis, avec une avidité qui en déconcertes plus d’uns. Quand je commence je suis incapable de m’arrêter, je plie la feuille de la vrai réalité pour la glisser dans ma poche, et je lis. Encore et encore pour finir l’histoire ? Non pour vivre l’histoire, pour vivre une vie autre que la mienne, pleine de rebondissement, d’angoisse de colère de chagrin de passion de bonheur que je vis réellement dans cette fausse réalité. Jusqu’au moment ou, je suis incapable de songé à autre chose qu’au fait que le livre ce termine (sans pour autant penser une seconde à m‘arrêter de lire, j‘en serai bien incapable.) Que l’histoire s’achève et qu’elle me laissera seule; seule et démunie face à cette réalité tellement banale, qu’elle me terrifie.

J’en viens donc à ressentir cet espèce de manque une fois le livre achever comme un besoin de replonger, un besoin vif et insatiable que personne ne pourrait comprendre… je me sent comme en deuil, le livre qui m’a passionnée pendant un temps est terminer, que faire de mon esprit. À quoi penser d’autre qu’à un autre livre puisque celui-ci n’a plus rien à m’offrir? je pourrais passer ma Vie entière à lire. A vivre, dans un autre réalité que la mienne… je pense être malade, je songe à demander si cela est un problème, je me demande si une existence faite de livres, et de réalités qui n’existeraient que pour moi, n’est que mon reflet du paradis, ou bien d’autre gens auraient les même aspirations que moi? Et ferais de moi une jeune femme moins folle, moins désireuse de ce démarquer dans une autre vie.
D'une autre vie que la sienne.
D'un rêve.

Nini

 

 

Lundi 23 août 2010 à 23:58


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Je suis là, car il est là.
Aussi bizarre que cela puisse paraître... !
Enfin, ME paraître.

Je ne sais pas par quoi commencer.
Sans doute par le début...
Donc


Appelez moi Nini.

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