Vaines-esperances

Toutes mes choses sans importance

Mercredi 25 août 2010 à 2:29

Parménide.
Un brin de poesie
De philosophie
Et un peu de moi, aussi


Parménide divisait la philosophie en deux parties : sur la vérité et sur l'opinion. Cette division était pour lui - ainsi que l'est maintenant pour moi - Absolue

« Χρεὼ δέ σε πάντα πυθέσθαι
ἠμέν Ἀληθείης εὐκυκλέος ἀτρεμὲς ἦτορ
[30] ἠδὲ βροτῶν δόξας, ταῖς οὐκ ἔνι πίστις ἀληθής. »

" Apprends donc toutes choses
Et aussi bien le coeur exempt de tremblement
Propre à la vérité bellement circulaire,
Que les opinions des mortels, dans lesquelles
Il n'est rien qui soit vrai ni digne de crédit. "
 

Mercredi 25 août 2010 à 2:17

http://bretzell.free.fr/blog/images/billets/amour.jpgPour vous
c'est quoi l'Amour ?!

Ma mère : L'amour c'est un sentiment fort. Une obsession parfois et aussi, comme un sixième sens.

Mondsé : J'en sais rien !

Le mari à Mondsé : L'amour est un sentiment unique que l'on ressent en premier lieu à la naissance et que l'on ressent sur le seuil de notre mort. Notre dernier regret c'est celui de notre amour.

Mickaël : Regarde dans le dico pour moi c'est ça l'amour.

Sarah : L'amour ça n'éxiste par car l'humain n'est pas fait pour aimer

Sandrine : L'amour c'est être capable de tout faire pour quelqu'un.

Manon : L'amour pour moi c'est john ! ( pauvrette amoureuse.. lol )

Je vous invite à laisser votre avis.
Amicalement, Nini

Mardi 24 août 2010 à 20:12

Qu'est ce que l'amour ?!!

http://www.saintvalentin.net/wordpress/wp-content/uploads/2009/09/poeme-amour-coeur1.jpg




Amour:
Définition du dictionnaire : Sentiment d'affection, d'attirance sentimentale et sexuelle entre deux personnes.

Est ce que vous remarquez, que finalement l'amour n'est pas défini ?
Seriez vous capable de le définir ?
Qui pourrait dire ce qu'est l'amour en quelques mots ?

Hé bien, moi j'ai la prétention de savoir le faire, du moins je pense sérieusement avoir raison.
Mais est ce que les amoureux, et les amoureuses, amoureux de l'amour
Accepteront la réalité ?
J'en doute

Voici Ma définition :

L'amour est une mécanique quantique.

Pour ceux qui ne savent pas, ce que cela représente laisser moi vous expliquez.

La mécanique quantique est la théorie mathématique et physique décrivant la structure et l'évolution dans le temps des phénomènes physiques à l'échelle de l'atome.

Par structure, je parle du corps, et par evolution dans le temps je parle de l'évolution de nos goûts, attirances, ect qui définissent le "pourquoi" d'une affection particulière... qui se "bonnifie" ou alors reste indentique mais rare sont ceux ou celles qui change de "goût" radicalement! Bref
Exemple :
une jeune femme telle que moi, va adorer les hommes aux cheveux longs, secs et grands. Qui jouent de la gratte, qui aiment le métal et qui si possible soit et métaleux et romantique ( c'est pas une annonce lol )  Il y a un pourquoi que moi même je serai incapable de définir. Mais se que je sais c'est que cela vient du....Nan pas du coeur, Du cerveau ! xD le coeur est un organe, certe vital, mais pas du tout cerebral en résumé il ne pense pas !
Zut alors O_o
Trêve d'ironie.
J'essaie de simplifier au maximum mais il faut avouer que c'est difficile ! xD
Donc j'ai expliquer, structure, évolution dans le temps puis ! Des phénomènes physiques ( c'est à dire du cerveau car, par le physique j'entend non pas le coeur mais, je repete le cerveau )

En clair, l'amour est mécanique quantique.
C'est un mécanisme qui nous vient du cerveau. Une émotion quel conque telle que :
- la colére
- la jalousie
- la honte
- la tristesse
- la joie
- la frustration
- le désir
( et oui ! )
Ect ect !!

J'ai presque fini
n'ayez pas peur !

Alors pour terminer ceci, je vais dire tout de même
comment les sentiments, c'est à dire les phénomènes physiques, naissent dans le cerveau ( structure ) ?!!
c'est tout simple.

Exemple:
D'ou nous vient ce besoin d'apprecier la bonne cuisine ?
l'hémisphère cérébral droit.
ECT parce que sinon... lol

Les émotions et l'attention sont contrôlées par un système appelé "système limbique"

Ouaip, les poêmes qui parlent de coeur c'est bien joli
mais c'est que des Conneries
=)

Alors, je vous laisse si vous avez le courage apprecier ma penser. Un brin cynique je l'avoue.

Mardi 24 août 2010 à 0:22

http://vaines-esperances.cowblog.fr/images/reveble.jpg
 

 

                                           I

Le sens de la réalité parfois m’échappe, comme un roulement de tambour que j’entendrais au loin, mais que mon subconscient se refuse d’écouter. Que dire de cette vie que je me suis construite en disant oui puis non en ayant envie et motivation puis en perdant tout me plongeant dans mon autre réalité ? Celle que je ne saurais concevoir autrement que dans les livres, dans ma poésie et dans mes écritures ? Quoi de plus simple que de laisser ses responsabilités de cotés, d’oublier dans quel monde l’on vie, d’une horreur affligeante, mais d’une normalité dérangeante ? Le fait que tout paraisse vide et sombre parfois me contraint à dire que je ne devrais plus lire une ligne de se qui ne représente pas la vrai réalité.
Celle de tout un chacun, celle que j’aperçois parfois de loin quand je m’éveil, en ne songeant qu’au prochains livres, à la prochaine mise à l’écart de cette si banale réalité...

Finalement je suis une droguée.

Une alcoolique métaphorique, qui à une vive dépendance au décrochage de réalité, une droguée,  une alcoolique. L’alcoolique porterait avidement à sa bouche, la bouteille qu’il a choisi de boire, il boit, je ne parle pas de raisons, du pourquoi simplement qu’il boit, il boit et perd le sens, le sens des réalités. Il ne mesure pas ce qu’il fait ni se qui l’entoure, jusqu’à un certain point.

Le drogué lui quelque soit sa drogue, fera de même il portera avec avidité son nez vers sa ligne de coke. Il fumera avec impatience sa dose de crack. Il s’injectera avec agitation sa dose d’héroïne. Et il oubliera, tout se qu’il entoure pour n’être plonger que dans sa demi conscience. Dans sa propre réalité?

 Et moi. Je lis, tout, tout ce qui n’est pas réel, tout ce qui pourrait ne pas ressembler à la réalité qui m’entoure, je lis comme un drogué prendrait sa dose, non pas par plaisir, mais par 

Moi je parcours les lignes de ce que je lis, avec une avidité qui en déconcertes plus d’uns. Quand je commence je suis incapable de m’arrêter, je plie la feuille de la vrai réalité pour la glisser dans ma poche, et je lis. Encore et encore pour finir l’histoire ? Non pour vivre l’histoire, pour vivre une vie autre que la mienne, pleine de rebondissement, d’angoisse de colère de chagrin de passion de bonheur que je vis réellement dans cette fausse réalité. Jusqu’au moment ou, je suis incapable de songé à autre chose qu’au fait que le livre ce termine (sans pour autant penser une seconde à m‘arrêter de lire, j‘en serai bien incapable.) Que l’histoire s’achève et qu’elle me laissera seule; seule et démunie face à cette réalité tellement banale, qu’elle me terrifie.

J’en viens donc à ressentir cet espèce de manque une fois le livre achever comme un besoin de replonger, un besoin vif et insatiable que personne ne pourrait comprendre… je me sent comme en deuil, le livre qui m’a passionnée pendant un temps est terminer, que faire de mon esprit. À quoi penser d’autre qu’à un autre livre puisque celui-ci n’a plus rien à m’offrir? je pourrais passer ma Vie entière à lire. A vivre, dans un autre réalité que la mienne… je pense être malade, je songe à demander si cela est un problème, je me demande si une existence faite de livres, et de réalités qui n’existeraient que pour moi, n’est que mon reflet du paradis, ou bien d’autre gens auraient les même aspirations que moi? Et ferais de moi une jeune femme moins folle, moins désireuse de ce démarquer dans une autre vie.
D'une autre vie que la sienne.
D'un rêve.

Nini

 

 

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