Mardi 24 août 2010 à 0:46
J’aimerai tellement sentir la chaleur de ton étreinte
Revoir ton sourire et tes colères feintes
Écouter tes discours pleins de bon sens, sentir tes yeux rieurs
Apaiser le désespoir de mon cœur !
Grand-mère sais tu ce que tu as laisser derrière toi ?
Des vies déchirées, pleines de désarroi
Des sourires flétris et des appétits perdu
Oui, grand-mère, dis moi le sais tu ?
Ton rire, il me manque tellement
Et tes sourires moqueur j’y repense souvent
Comment as-tu put partir si soudainement
Me laissant seule, dans mon tourment
Pourquoi ? Comment ?
Les larmes coulent, sans que tu ne reviennes
Sans que tu n’entende ni même que tu ne comprenne
Combien ma peine est immense combien il n’y a pas de mots
Pour dire quel est le poids de mes maux
Et si de la haut tu perçois ma douleur
Mon égoïsme espère que tu t’en veuille un peu
Car le glas de ta mort sonne à mon cœur
Comme le son amer d’un éternel Adieu...
Nini