Vaines-esperances

Toutes mes choses sans importance

Dimanche 19 septembre 2010 à 2:37

Tu rampes à mes pieds tel une larve amaigrie
Sache que ce genre de fantaisie
N'est pas chose qui m'attendrit
Et je dirais plutot que cela m'ennuie

Tu dis que tu m'aimes, mais je n'ai jamais trouver plus idiot
Qu'un homme qui pleure, quand je lui tourne le dos
Je suis immonde dis-tu ? Alors es un peu de courage..
Mais surtout, par pitié tourne la page !


A bon entendeur Salut !

Me

Samedi 11 septembre 2010 à 1:55


My invaded pain my head
 
If you knew as I regret
That the life is so painful
Terrible
And so commonplace
My invaded boredom my soul
But God does not exist to protect me from his flames...

Me...http://files.myopera.com/Prayerman/blog/flamme.jpg

Dimanche 29 août 2010 à 0:55

Comme le souffle du vent
Je ne sais pas d'où tu viens
Les feuilles qui volent doucement
Je ne sais pas d'où tu viens

Je songe à t'explorer dans mes moments
Ou je suis perdue dans mes sombres pensées
Mais je m'arrête car soudainement
Je n'arrive plus à respiré

Parfois dans mon sommeil
Quand bizarrement je m'éveil
Les yeux mouillés, et le coeur lourd
Empli de peine, empli d'amour..

Comme le souffle du vent
Je ne peux pas te toucher
Les fleurs qui meurent inexorablement
Je ne peux pas l'empêcher

Je pense à se gouffre qui m'envahi
Me saigne et me poursuit
Et ces larmes qui apparaissent parfois
Bien, bien malgré moi...

Souvent quand je m'endors
j'ai une belle pensée pour toi
Puis mon âme brûle et se tord
Sachant que tu n'es plus là...

Comme le souffle du vent
mon souffle parfois s'amoindrit
Si tu savais ce que je ressent
Si tu savais comment je le vit

Mal
Tellement
Mal
atrocement

Car comme le souffle du vent
Tu es sans être
Comme le souffle du vent
Tu n'es plus sans disparaître

Je t'aime, avo.
 


Mardi 24 août 2010 à 0:46

  

Ton rire, il me manque tellement
Et tes sourires moqueur j’y repense souvent

Comment as-tu put partir si soudainement
Me laissant seule, dans mon tourment

Pourquoi ? Comment ?

Les larmes coulent, sans que tu ne reviennes
Sans que tu n’entende ni même que tu ne comprenne

Combien ma peine est immense combien il n’y a pas de mots
Pour dire quel est le poids de mes maux

Et si de la haut tu perçois ma douleur
Mon égoïsme espère que tu t’en veuille un peu

Car le glas de ta mort sonne à mon cœur
Comme le son amer d’un éternel Adieu...

Nini
 


<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast